2. nov., 2017

l'endométriose

L’endométriose est une maladie gynécologique assez fréquente puisqu’elle concerne une femme sur dix. Elle est liée à la présence de tissu semblable à la muqueuse utérine en dehors de l’utérus. Différents organes peuvent être touchés. La maladie peut être asymptomatique. Mais dans certains cas, elle provoque des douleurs fortes (notamment au moment des règles) et/ou une infertilité.

L'endométriose est une maladie caractérisée par la présence de tissu utérin (ou tissu endométrial) en dehors de la cavité utérine.

Il est l'un des troubles gynécologiques bénins les plus courants : 1 femme sur 10 en âge de procréer, 14 millions en Europe.

L'infertilité touche 40 % des femmes souffrant d'endométriose, 20 % à 5 ans de récidive après la chirurgie.

Nombres d'études donnent à penser qu'une combinaison de facteurs génétiques, hormonaux, environnementaux, notamment des perturbateurs endocriniens, ou celui de l’influence des acides gras polyinsaturés et d’autres composants alimentaires pouvant entrainer des anomalies épigénétiques. immunologiques et anatomiques, jouent un rôle dans ce trouble.

 Les symptômes :

 Les symptômes induits par l’endométriose sont le plus souvent des douleurs et une infertilité.

Le symptôme majeur est une douleur pelvienne récurrente parfois très aiguë, notamment au moment des règles. Ce caractère cyclique est évocateur de la maladie. Les lésions sont en effet sensibles aux hormones féminines et se comportent comme du tissu utérin. Les lésions vont donc proliférer, saigner et laisser des cicatrices fibreuses à chaque cycle menstruel. Chez certaines patientes, une importante innervation des lésions pourrait contribuer aux douleurs extrêmes parfois ressenties. En dehors de la période des règles, les patientes peuvent également souffrir lors des rapports sexuels (dyspareunie) ou encore au moment de la défécation ou de la miction.

La maladie peut aussi être totalement asymptomatique. Dans ce cas, elle est généralement découverte de façon fortuite alors que la patiente consulte en raison d’une difficulté à concevoir un enfant.

A l'examen IRM, on peut découvrir une anomalies des organes génitaux : sténose (diminution d'un canal) ou cloison.

L'endométriose peut atteindre des organes à distance : péritoine, ovaires, trompes de fallope, paroi de l'utérus, vessie, rectum, côlon.Dans de rares cas, des lésions d’endométriose peuvent même apparaitre au niveau d’organes localisés à distance de l’utérus, par exemple dans les poumons ou le cerveau.

Concernant cette dernière localisation, seuls deux cas ont été rapportés à ce jour. Dans l’un des deux (rapporté en 1993), la patiente souffrait d’attaques cérébrales le premier jour de ses règles, jusqu’à ce qu’on l’opère pour retirer la lésion.

 

Les femmes touchées errent souvent pendant plusieurs années, avant de voir poser un diagnostic, sur leurs symptômes. Retardant leur prise en charge.

 Les traitements :

 Une endométriose asymptomatique, non douloureuse et qui ne pose pas de problèmes de fertilité n’est en général pas détectée et donc pas traitée. Lorsqu’une patiente découvre son endométriose en raison de douleur, on lui propose le plus souvent en première intention un traitement hormonal destiné à provoquer une aménorrhée (contraceptifs œstroprogestatifs monophasiques en continu, progestatifs, danazol ou analogues de la Gn-RH), réduisant ainsi les douleurs liées à la réponse hormonale des lésions d’endométriose. Néanmoins, si ce traitement masque la douleur, il n’empêche pas la progression des lésions, aussi lente soit-elle.
 

La chirurgie est le traitement de référence de l’endométriose car elle permet de retirer les lésions de façon aussi exhaustive que possible. Ainsi, les symptômes douloureux peuvent disparaître pendant de nombreuses années, voire totalement. La difficulté chirurgicale est cependant amplifiée dans le cas de petites lésions disséminées ou quand l’intervention induit un rapport risque/bénéfice défavorable, avec par exemple un risqTexteue d’incontinence.

Pour le traitement des douleurs, un anti-inflammatoire ou un antalgique.

Aujourd'hui, suite à une étude réalisée par le Docteur Alain Gerbi, il est prouvé scientifiquement, que l'endométriose, par l'apport d'oligo-métaux, peut-être une véritable source de bien-être véridique. Une alternance efficace et naturelle.

Cette solution a été testée cliniquement sur 60 jours par des femmes souffrant de cette pathologie, en colaboration avec une trentaine de médecins gynécologiques en France, et ont produit des résultats significatifs, sur les symptômes.

Résultats : 100 % de baisse des symptômes

50 % de disparition totale des symptômes dans d'autres

et surtout aucuns effets secondaires.

Je me suis donc penchée sur ce problème que rencontre les femmes, de 25 à 40 ans en âge de procréer.

Je me suis donc intéressée à cette branche d'oligo-métaux, et vous trouverez à mon cabinet le produit nutri, pour vous aider dans cette souffrance. La gemmothérapie peut vous apporter un mieux, en complément, sur les conseils de votre gemmothérapeute. Les bourgeons pour les problèmes de cycle doivent être pris après une anamnèse compléte, car ils sont interdits si vous ou un membre de votre famille a ou a eu un cancer hormono-dépendant.

Je reste à votre disposition pour plus de renseignements.

sources : ma formation nutrilab pour l'endométriose et justificatif scientifique nutri-endo 1 et 2 par le docteur Alain Gerbi

Laëtitia Milot, marraine d’endofrance

Derniers commentaires

27.06 | 14:13

Une multitude de connaissance et de pratiques «magiques » 😂 qui soulage bébé ( coliques et clavicule cassé) ainsi que les mamans... je recommande à 1 000 % , très humaine et professionnel ...

04.07 | 11:18

Comment ne pas apprécier le professionnalisme de Évelyne, qui me suit depuis 2 ans 1/2, et qui voit immédiatement, si je viens pour une séance de Tui N'a d'entretien où bien pour un problème.

04.07 | 10:58

Bravo pour votre nouveau site.

04.07 | 10:57

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